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Au Primaire, la mathématique permet à l'élève de mieux s'approprier le monde qui l'entoure.
En 1957, au commencement de l'Académie, les mathématiques occupaient un créneau important de la matière que l'élève du Primaire devait assimiler. Là, l'abstrait régnait en maître et l'austère, pour ne pas dire le terne, caractérisait le matériel utilisé. On y retrouvait peu, sinon pas de liens avec l'environnement, avec ce qui se vivait au quotidien.
En revanche, depuis 2000, la réforme du curriculum met l'accent sur une compréhension élargie du domaine de la mathématique, des sciences et des technologies, où un langage particulier est retenu. L'apprenant doit pouvoir décoder des informations, chiffrer, estimer, calculer, mesurer : la qualité de sa vie, dans la société, en dépend. L'objectif à atteindre apparaît alors comme un accès à un ensemble de savoirs qui empruntent aux méthodes, aux concepts, au discours propres à la mathématique. L'apprentissage proposé à l'écolier lui permettra de saisir un univers dont technologie, graphisme, notation, symbolisme, codification se révèlent des éléments; d'utiliser un raisonnement inductif ou déductif; d'approcher les connaissances comme des instruments ancrés dans la vie de tous les jours; de privilégier une démarche orientée pour atteindre un résultat ou trouver une solution.
Ainsi donc, à l'Académie, les acquis, le passé, la manière de vivre, les intérêts, l'époque de l'élève demeurent les bases du parcours auquel ce dernier s'initiera. Tout sera fait pour favoriser son agir, pour lui faire aimer la mathématique.
Au Primaire, la mathématique permet à l'élève de mieux s'approprier le monde qui l'entoure.
En 1957, au commencement de l'Académie, les mathématiques occupaient un créneau important de la matière que l'élève du Primaire devait assimiler. Là, l'abstrait régnait en maître et l'austère, pour ne pas dire le terne, caractérisait le matériel utilisé. On y retrouvait peu, sinon pas de liens avec l'environnement, avec ce qui se vivait au quotidien.
En revanche, depuis 2000, la réforme du curriculum met l'accent sur une compréhension élargie du domaine de la mathématique, des sciences et des technologies, où un langage particulier est retenu. L'apprenant doit pouvoir décoder des informations, chiffrer, estimer, calculer, mesurer : la qualité de sa vie, dans la société, en dépend. L'objectif à atteindre apparaît alors comme un accès à un ensemble de savoirs qui empruntent aux méthodes, aux concepts, au discours propres à la mathématique. L'apprentissage proposé à l'écolier lui permettra de saisir un univers dont technologie, graphisme, notation, symbolisme, codification se révèlent des éléments; d'utiliser un raisonnement inductif ou déductif; d'approcher les connaissances comme des instruments ancrés dans la vie de tous les jours; de privilégier une démarche orientée pour atteindre un résultat ou trouver une solution.
Ainsi donc, à l'Académie, les acquis, le passé, la manière de vivre, les intérêts, l'époque de l'élève demeurent les bases du parcours auquel ce dernier s'initiera. Tout sera fait pour favoriser son agir, pour lui faire aimer la mathématique.